Le prix du bio
Sa vraie limite était un surcoût de 34 % à 500 % selon les produits (par rapport aux premiers prix de la distribution discount), qui les rendait financièrement réservés à des privilégiés.
En réalité, cette différence est moindre par comparaison avec des produits traditionnels (issus de l’agriculture raisonnée) de qualité équivalente.
Ce surcoût s’explique par des rendements plus faibles, un coût d’exploitation souvent supérieur et le prix à payer pour la certification biologique.
Mais les choses évoluent, puisque de nouvelles chaînes de distribution, exclusivement bio, se multiplient et que de plus en plus de grandes surfaces proposent des linéaires entiers de produits bio, allant même jusqu’à créer leur propre marque.
Quelques chiffres
La vente de produits bio atteignait 23,1 milliards d’euros en 2004.
Ce chiffre impressionnant ne représente pourtant que 3,52 % des échanges de produits agricoles dans le monde (652 milliards d’euros).
Les produits certifiés bio sont issus de 31 millions d’hectares de culture en 2005 (dont 540 000 hectares en France), contre 26 millions en 2004, ce qui représente une belle progression.
Le nombre d’agriculteurs bio a été multiplié par trois en 10 ans.
En Occident, la consommation de produits bio est en hausse de 9 % sur la même période, l’Europe restant le premier marché du monde (11,4 milliards d’euros en 2004), et l’Allemagne le premier pays consommateur (3,5 milliards d’euros), devant l’Italie (2,4 milliards d’euros), la France (1,9 milliards d’euros) et l’Angleterre (1,7 milliards d’euros).
Si l’on ramène la consommation bio au nombre d’habitants, c’est la Suisse qui se distingue, avec 107 € par habitant consacrés annuellement à l’achat de ces produits ! à titre de comparaison, le second, le Danemark, passe à 51 €, l’Allemagne et l’Italie à 42 €, et la France à 31 €.
Source :http://seme.cer.free.fr/ecologie-sante/produits-bio.php
Sa vraie limite était un surcoût de 34 % à 500 % selon les produits (par rapport aux premiers prix de la distribution discount), qui les rendait financièrement réservés à des privilégiés.
En réalité, cette différence est moindre par comparaison avec des produits traditionnels (issus de l’agriculture raisonnée) de qualité équivalente.
Ce surcoût s’explique par des rendements plus faibles, un coût d’exploitation souvent supérieur et le prix à payer pour la certification biologique.
Mais les choses évoluent, puisque de nouvelles chaînes de distribution, exclusivement bio, se multiplient et que de plus en plus de grandes surfaces proposent des linéaires entiers de produits bio, allant même jusqu’à créer leur propre marque.
Quelques chiffres
La vente de produits bio atteignait 23,1 milliards d’euros en 2004.
Ce chiffre impressionnant ne représente pourtant que 3,52 % des échanges de produits agricoles dans le monde (652 milliards d’euros).
Les produits certifiés bio sont issus de 31 millions d’hectares de culture en 2005 (dont 540 000 hectares en France), contre 26 millions en 2004, ce qui représente une belle progression.
Le nombre d’agriculteurs bio a été multiplié par trois en 10 ans.
En Occident, la consommation de produits bio est en hausse de 9 % sur la même période, l’Europe restant le premier marché du monde (11,4 milliards d’euros en 2004), et l’Allemagne le premier pays consommateur (3,5 milliards d’euros), devant l’Italie (2,4 milliards d’euros), la France (1,9 milliards d’euros) et l’Angleterre (1,7 milliards d’euros).
Si l’on ramène la consommation bio au nombre d’habitants, c’est la Suisse qui se distingue, avec 107 € par habitant consacrés annuellement à l’achat de ces produits ! à titre de comparaison, le second, le Danemark, passe à 51 €, l’Allemagne et l’Italie à 42 €, et la France à 31 €.
Source :http://seme.cer.free.fr/ecologie-sante/produits-bio.php